2025


LANA ON THE ROAD
Orchestrations
1 : Ouverture.

2 : Lana song. (00:45)

3 : USA New York. (01:10)

4 : USA Texas. (01:38)

5 : USA Hollywood. (02:21)

6 : Cuba. (03:00)

7 : Pérou. (03:36)

8 : Argentine. (04:15)

9 : Brésil. (04:57)

10 : Swaziland. (05:43)

11 : Tanzanie. (06:25)

12 : Égypte. (07:00)

13 : Mali. (07:39)


14 : Espagne. (08:26)

15 : Bretagne-France. (09:08)

16 : Angleterre. (09:35)

17 : Norvège. (10:16)

18 : Roumanie. (10:56)

19 : Turquie. (11:35)

20 : Russie. (12:17)

21 : Chine. (13:02)

22 : Japon. (13:44)

23 : Tahiti. (14:22)

24 : Thailande. (15:03)

25 : Inde. (15:39)

26 : Himalaya-Népal (16:20)

27 : Lana song symphonique. (17:21)

Au départ une grande partie des paroles devait être en Français mais à cause de l'affligeante médiocrité de la création musicale en France et le peu d'enthousiasme pour l'améliorer, en cause également un ministère de la culture généreux avec des planqués sans talent, la totalité de la partition musicale, déposée à la SACEM, sera présentée chez ceux qui brillent par leur audace. Aux USA il n’a pas fallu ramper autour du salon ovale pour inventer : le jazz, le blues, le rock, le rhythm and blues, le disco, la folk, le funk ; la liste est interminable et que dire d'Hollywood. 

LANA ON THE ROAD
le fil en extraits : 





Projet musique
pour ouverture des
JO 2024
(Rejeté par le guignolesque!!!!!!)
Dans ce pays on n'aime pas les artistes fans de sport.



Une chanson, largement du niveau des meilleures Anglos saxonnes, parfaitement adaptée pour une chorégraphie grandiose.
Tout est en évolution dans cette œuvre de 3,47mn : 4 couplets, dont le dernier, différent, profite au final en apothéose,  3 refrains plus une phrase extraite pour l’intro et une partie musicale au milieu. Dans l’idée les couplets pourraient être chantés par des personnes différentes, quand à la chorégraphie il y a de quoi en faire des pages.

Tout le monde s’y retrouve dans le texte,  on sait de quoi il s’agit sans même cité le moindre sport, même le public où qu’il soit est dans l’écrit, sans oublier la part historique des jeux.
L’orchestration est à la mesure de l'événement, mais l’ensemble, écoutable par tous, sonne variété rock internationale.
Orchestration : Chant, chœurs, guitare et basse électriques, batterie, violons 1, violons 2, altos, violoncelles, contrebasses, flûtes traversières, clarinettes, clarinette basse, hautbois, bassons, trompettes, trombones, cors, tuba, timbales, xylophone, cloches tubulaires, tambourin, gong, grosse caisse et claps.




POUR LE PLAISIR DES DIEUX

                          
De toutes les cultures, le sourire en commun, les qualifiés sont là
savourant, comme une première victoire, le chemin accomplie.
Dernier relais la flamme s’embrase  souligne ces mots « je déclare ouvert »

                                              (refrain)
Les jeux, cinq anneaux, un continent à chaque doigt, le monde dans une seule main.
Elle, lui, les blessés de la vie aussi, acquis, aux mêmes règles, aux mêmes droits.
Bénis ou meurtris fierté d’un pays s’écrit drapeau sur les épaules.

Le stress s’évanouie, confiant dans l’influence de leurs volontés,
les champions se livrent, stylés, racés.
Le chrono et les points, s’alignent, défilent.
Challenge du jour passer le tour aller jusqu’au bout.

                                              (refrain)

Le temps des finales de ceux qu’on attend et des outsiders.
Mimiques, portes bonheur, au fil des ondes c’est pareil.
Sève du sport emporte la palme des émotions.
L’exploit, la joie, les larmes au podium.

                                              (refrain)

Les lieux désertés maintenant accueillent les ombres du passé.
Dans l’Olympe on prend place.
Les athlètes, aux corps de rêve, se subliment.
Vaincre pour le plaisir des Dieux.